Publié le 8 Avril 2024

Rédigé par Le blog sur Chatillon sur Indre

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Publié le 7 Avril 2024

7 avril 2024

.

Une petite mise aux points tout d'abord.

A ce jour vous  êtes 85931 visiteurs

a être passé par ici et

136200 pages ont été vu.

 

MERCI.

 

Je me rappel le jour de la mise en forme de ce blog...Un "Monsieur m'avait dit "Vous n'arriverez a rien" Seul le Maire d'alors Mr Hetroy m'avait dit ...Allez y.

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Publié le 27 Août 2022

Un petit bonjour en passant.Tout d'abord merci de votre fréquentation.Vous avez été 82 668 a venir voir ce blog.Je  ne peux changer les stats de l'entrée du blog.

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Publié le 6 Avril 2020

En cette période de corona

Rester chez soi

C'est faire un grand pas

Qui vers les autres te mènera.

 

François Lagane

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Publié le 3 Juin 2019

Comment faire une belle photo

 

Je sais la question ou plutôt cette affirmation peut prêter à sourire. En fait je vais vous indiquer comment ……ne pas faire une photo trop affreuse. Toujours sur mon principe habituel du niveau CP.

Sur un reflex, bien maitriser les divers réglages. Si cela n'est pas le cas, passez à l'automatisme.

Le mode automatique ne fera pas tout. Il faudra veiller à ne pas faire les plus gros impers.

Ne pas:

Couper les têtes, les bras.

Ne pas prendre la photo face au soleil.

Si vous prenez un animal, ne jouez pas au microscope. Prenez du champ.

Au contraire si le sujet est loin, zoomez un petit peu. Attention au flou de bougé. Plus vous grossissez, plus vous bougerez.

Si vous le pouvez prenez un pied photo et servez vous du retardateur pour ne pas faire de bouger sur une "cible" fixe.

N'hésitez pas à refaire vos photos si vous ne les trouvez pas à votre gout. Regardez (souvent) sur votre écran ce que cela donne.

 

Maintenant que vous avez tout compris, je vais vous expliquer ….un truc……

Sachez qu'en fait, et je viens de m'en apercevoir (enfin) que l'on voyage mieux dans une Mercedes qu'une 2cv.

Je m'explique .Chaque APN et chaque reflex a un prix. Soyez sûr que le prix influence la qualité de la future photo.Mais cette qualité ne remplacera pas votre savoir et votre compétence.

La qualité du rendu passe principalement par la grandeur du capteur de votre appareil.

Dans le domaine du reflex type "capteur APS-C ", la qualité, c’est-à-dire la grandeur de celui-ci influence le rendu de la photo. En fait tout part du format 24x36.

Par ex..Le capteur APS-C est  dans la diagonale 1,6 fois plus petite que le 24x36.

Le capteur APS-H est 1,25 fois plus petit. ….Que le 24x36

Le capteur 4/3 est 2 fois plus petite que le 24x36

Quant aux petits capteurs ils sont en général 3 fois plus petit

La palme de la petitesse revient aux capteurs des téléphones.

 

Sachez que...............savoir utiliser et savoir dompter votre appareil et la base de tout.Tout d'abord ,lisez les notices.Ensuite intéressez vous aux diverses commandes mises à votre disposition.Pour tout vous dire.Personnellement cela doit faire environ le dixième appareil photo qui passe entre mes mains.A chaque fois je monte en gamme.J'aurai bien voulu avoir un plein format (Full Frame) ,mais là je trouve le prix dissuasif.

Moralité:Quelque soit l'appareil photo que vous allez avoir ,dites vous bien qu'il faut d'abord le maitriser à fond.La plupart des utilisateurs ne se servent pas de toutes les fonctions de leur appareil.

Ceci n'est qu'un rapide condensé pour tout débutant comme moi......qui veut progresser........:-)

 

 

Ceci n'est que le fruit de ma petite expérience d'amateur photographe qui aime comprendre et de niveau CP.Si vous constatez une "coquille". Vous en serez remercié de me la signaler.

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Publié dans #Notions photos basiques

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Publié le 3 Juin 2019

Une méthode simple pour connaitre le nombre de déclenchement de votre reflex ou de votre APN.

Cliquez sur le lien suivant.....................Camera shutter count                        

J'ai mis APN....mais sous toutes réserves.Mais pour les reflex il connait presque toutes les marques.

 

 

 

Une fois que vous avez cliqué sur le lien.Parcourez vos fichiers en sélectionnant une photo de l'appareil en question.Une fois sélectionné cliquez sur le mot UPLOAD ........Et en patientant quelques secondes un chiffre va apparaitre.

Le nombre de déclenchement de l'appareil qui a pris cette photo.

 

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Publié dans #Notions Photos basiques

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Publié le 16 Novembre 2018

Photos non libres de droits

 

Photos de nuit.La ville
Photos de nuit.La ville

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Publié dans #Photos de nuit

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Publié le 16 Novembre 2018

Photos non libres de droits

 

Photos de nuit.Chatillon sur indre.Le ciel
Photos de nuit.Chatillon sur indre.Le ciel

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Publié dans #Photos de nuit

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Publié le 16 Novembre 2018

Photos non libres de droits

 

Photo de nuit du ciel étoilé.Chatillon sur Indre

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Publié dans #Photos de nuit

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Publié le 15 Octobre 2018

Bonjour.

Au vu de certains incidents dans l'envoie des parutions d'articles,il semblerait qu'une bonne partie des anciens abonnés ne reçoivent pas ou plus l'avis de parition des articles.Si cela est votre cas je vous inciterai donc a renouveler votre inscription.Si vous avez un probleme quelconque,je vous demanderai de me le signaler.Merci de votre fidélité.

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Publié le 15 Octobre 2018

Photographiez le ciel

Mise aux points.

En informatique comme en tout ….et en photo j'aime les choses claires et simples. Je vais donc vous expliquer aujourd'hui, simplement, comment photographier le ciel au-dessus de votre tête.

Je ne suis pas un "photographe" professionnel mais je me qualifie moi même ...........d'amateur averti.

 

Ce que l'on vous dit et ce que l'on ne vous dit pas….Dans les revues ou articles dits…Techniques.

 

Tout d'abord ne vous attendez pas à trouver sur votre écran des étoiles de Noël. Je sais cela parait bête et enfantin mais cela a été un peu ma croyance du début.

Autre chose, un ciel n'est beau que s'il y a quelque chose avec. Je m'explique. Dans votre photo incluez un bâtiment, un clocher. Ou tout autre chose qui viendra faire "contraste" du plus bel effet.(Ou une personne)

 Faites toujours vos photos sans lune et par ciel dégagé, sans nuage.. Certains vous disent aussi, regardez les prévisions du temps. Bien sûr. Mais le meilleur baromètre ….c'est vous. Levez le nez vers le ciel et vous saurez….si vous devez sortir votre appareil photo. Pour celui-ci ,il faut qu'il soit toujours prêt.

Je reviens aux étoiles. Sur votre merveilleux cliché vous aurez des points lumineux. Pas des étoiles de noëls.

Je pars dans la certitude qu'en écrivant ces lignes  vous possédez quelques notions de photographie.

Maintenant un peu de technique.

Rassurez-vous je ne suis pas doué pour ça, mais……

Cinq conditions pour essayer de réussir.

La toute première...............................................

Avoir un objectif grand angle....genre 18/55.

1) Avoir un pied photo stable et de bonne facture.

2) Posséder un "Reflex" pour pouvoir paramétrer celui-ci.

Les réglages.

3) Mettre en position M votre molette

4) Réglez la vitesse entre 10 secondes et 30 secondes.

5) Régler votre ouverture la plus basse possible. Je dis la plus basse car nous parlons de chiffres. En l'occurrence des chiffres comme 2.8 …….3…….3,5….4

Car vous savez bien sûr que plus le chiffre est petit….plus l'ouverture est grande et laissera passer plus de lumière.

Ensuite, si vous n'avez pas de déclencheur à distance, servez-vous de votre retardateur pour éviter les "bougés" de déclenchement. Réglez-le sur 2 secondes. Cela suffira.

Maintenant à vous de jouer. Levez le nez pour voir…..si vous voyez quelque chose. Regardez la météo. Et pour savoir où se trouve les planètes…directions le net. Bon courage.

Conseil: N'essayez pas avec votre Smartphone

Conseil 2:Augmentez la qualité de photo en JPG ou mieux passez en RAW ….si votre ordi arrive à suivre.

Si vous voulez d'autres conseils "basics" écrivez moi.

Votre dévoué

Jipé

 

Un dernier "truc"......Regardez sur  l'écran de votre réflex ce que donne l'image.

Un autre conseil.Faites comme le cuisinier essayez les différents réglages.

Commencez avec une sensibilité basse....genre 400 ou 800 isos

Commencez avec un temps assez bas....disons 10 secondes.

Ensuite tout doucement montez en sensibilité et en temps.

Attention si vous allez jusqu’à ....disons 12500 isos .....vous êtes trop haut.Mais vous pouvez essayer.En général 1600 isos est un maximum.

J’espère n'avoir rien oublié.Si c'est le cas....Dites le moi en m'écrivant.

 

Bonnes Photos.

 

 

 

Photographiez le ciel.Conseils pour débutants.

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Publié le 15 Octobre 2018

L'histoire que vous allez lire m'a été envoyée par Jean Yves Nisseron.Les Echos de la bouchure.Certains termes peuvent éventuellement heurter la sensibilité de certains.

Histoire de cochonaille
Histoire de cochonaille

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Publié dans #Sourions en Chatillon

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Publié le 2 Octobre 2018

Clair de lune.Photo de Jipé

Clair de lune.Photo de Jipé

Galaxie .Photo de Jipé

Galaxie .Photo de Jipé

Photo de Jipé.Commentaire de JC

Photo de Jipé.Commentaire de JC

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Publié dans #Ciel et espace

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Publié le 4 Septembre 2018

Conte du Berry
Conte du Berry

Texte de Jean Louis Boncoeur

Ce conte m'a été transmis par J.Y. Nisseron conteur régional d'entre Berry et Touraine comme au temps des veillées .

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Publié dans #Legendes et coutumes du Berry

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Publié le 3 Septembre 2018

Bonjour à toutes et tous.

Over-Blog vient de me prévenir qu'aujourd’hui 2 septembre 2018 mon blog,le blog SUR et non "de" Chatillon était né en 2011.Ce fut une drôle d’aventure.Certains m'ont aidés bien volontiers et d'autres m’ont carrément ignoré .Je remercierai donc ceux qui m'ont aidés.Je sais ,à l'époque j'ai "embêté" beaucoup de monde..Des grands ,des petits,des gros,des minces.Bref cela n'a pas été facile.

A l'époque j'avais plusieurs blogs et une personne m'a alors donné l'idée de faire un blog sur Chatillon.Je remercie cette personne de m'avoir soufflé ce challenge.

Depuis face à l'immobilisme de certains (Et parfois un certain dédain pour me donner des renseignements) j'ai mis en veilleuse ce site.

Le hasard (et mon esprit de curiosité) vient de me mettre sur le chemin d'un conteur.

Je vais essayer avec son aide,de faire revivre cet endroit.

Signé:L'administrateur du blog

3.09.2018

Statistiques actualisées de ce jour

65 413
visiteurs uniques
106 768
pages vues
1,632
vues / visiteur

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Publié dans #Actualité

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Publié le 5 Août 2018

 

Image d'illustration du net

 

Il m'est arrivé ,étant "drôle" de voir mon grand père porter une ceinture de laine .Celle ci était  large d'une quarantaine de cm et longue de 4 ou 5 mètres.J'ai toujours pensé que c'était pur ne pas avoir froid.En fait après recherche il est plus vraisemblable que cela était surtout pour tenir les lombaires lors de manutention.Genre porter un sac de blé ou manier la fourche lors de moisson ou tout travail demandant un effort soutenu.Dans d'autres endroits on l’appelle la ceinture "fléchée". Car elle portait des dessins représentant des flèches.
La ceinture de laine ou taillole
 
Certains disent qu’elle servait à "tenir le pantalon". En réalité, elle était destinée à soutenir et soulager les lombaires lors des rudes travaux des champs effectués à la main. Par la suite, lors des manifestations folkloriques, leur couleur symbolisait le corps de métier auquel on appartenait.

Elle est encore portée par les hommes de Provence et de Catalogne (la faixa).
 
La ceinture de laine pour les troupes d'Afrique était à l'origine et jusqu'en 1862 un accessoire vestimentaire de couleur variable, destiné à préserver des affections intestinales, en évitant les refroidissements.(Source du net)
 
 
En Camargue
Le costume masculin était traditionnellement porté par les paysans ou les artisans. Il tire son origine d’un costume citadin. Le décalage avec le temps en fait son originalité, en effet ce type de costume étant délaissé depuis longtemps par les bourgeois des villes. Il se compose d’une culotte à la française avec des bas ou guêtres, d’un gilet et d’une jaquette. Le seul élément ayant perduré dans le temps est la taillolle, cette ceinture de laine rouge portée à la taille. 
 
En Amérique du Nord
 
La ceinture fléchée est un élément des costumes traditionnels canadien-français, québécois et métis, historiquement associé à la traite des fourrures. Il s'agit d'une ceinture de laine tressée aux doigts, traditionnellement portée par les hommes. La largeur d'une ceinture peut varier de 15 cm à 25 cm et sa longueur peut facilement dépasser 2 mètres
 
 
 
Vous qui passez ,si vous avez des renseignements sur la ceinture de flanelle en Berry ...Je suis preneur.

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Publié dans #Insolite

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Publié le 4 Août 2018

Le souvenir des fées est encore vivace dans une foule de localités du Berry. Presque partout ce sont elles qui ont édifié les dolmens et les menhirs, qu’elles portaient, malgré leur pesanteur énorme, dans leurs tabliers de gaze. Souvent aussi elles n’avaient pas le temps de les mettre en place, surprises qu’elles étaient, avant la fin de leur besogne, par le chant matinal du coq.

C’est ce qui arriva, entre autres, pour les dolmens de la Pierre-du-Charnier, commune de Saint-Aigny, et de la Pierre-à-la-Fade, commune de Douadic. La légende rapporte que la table de ce dernier dolmen était destinée aux fondations du donjon du Bouchet ; mais la fée, qui était condamnée à transporter ce bloc dans son tablier, fut surprise par l’aurore avant d’avoir accompli sa tâche : le coq chanta ; le frêle tablier se déchira, et la pierre tomba lourdement au bord de la Mer-Rouge. Aujourd’hui encore, si l’on s’attarde, la nuit, près et l’immense étang, on voit fuir au-dessus des eaux une petite flamme tremblotante : c’est la pauvre fée qui revient, sans pouvoir terminer la tâche qui lui avait été confiée. Quant au donjon du Bouchet, un aperçoit toujours la place où manque l’assise que portait la fée.

 

Texte du net:

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Publié dans #Légendes

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Publié le 4 Août 2018

Qui ne connaît, au moins de réputation, la Chasse-à-Ribaud ? La Chasse-à-Ribaud ou à Baudet est un bruit qu’on entend à n’importe quelle heure de la nuit. On dirait un nombre considérable de voix de chiens de différentes grosseurs et, par-dessus tout, la voix forte et grave d’un gros dogue accompagnant par intervalles égaux, ce concert discordant. Cela vous passe au-dessus de la tête à une très faible hauteur, mais on ne voit absolument rien. Cela suit, de préférence, les bas-fonds, les prairies, les lieux solitaires. Tous ceux qui ont entendu la Chasse-à-Ribaud la dépeignent identiquement.

En avril 1879, un jeune homme des environs de Graçay rentrait le soir chez lui en suivant la route de Nohant, quand soudain il entendit au-dessus de sa tête entendit au-dessus de sa tête la Chasse-à-Ribaud, accompagnée comme toujours par la traditionnelle grosse voix qui domine toutes les autres. La chasse passait si près de lui qu’il baissa instinctivement la tête, craignant, dit-il plus tard, qu’elle ne lui enlevât son chapeau. Il n’osa pas regarder en l’air ; mais il entendit la chasse se diriger au-dessus du Marais et se perdre dans le Pré-Tambour, non loin du cimetière de Graçay.

 

Texte du net:

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Publié dans #Legendes et coutumes du Berry

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Publié le 4 Août 2018

Vers le milieu du XIXe siècle, dans la commune de Reuilly, un laboureur fut, un soir, poursuivi par la Grand’Bête ; c’était, disait-il, un animal gros comme une taure de deux ans, avec de grandes cornes, de grands poils roux hérissés, de grands yeux brillants. Quand il courait, la Grand’Bête courait ; quand il marchait, elle marchait ; quand il « restait d’arrêt », elle « restait d’arrêt ». Par instants, elle lui appuyait sa tête sur l’épaule et elle « l’haleinait » de si près qu’il sentait son souffle chaud lui passer sur le visage. Il se réfugia, haletant, dans une ferme voisine, sise à l’embranchement de trois routes. Après s’être réconforté quelque temps au coin du feu, il prit son courage à deux mains et sortit en chantant à tue-tête pour se donner du cœur. La Grand’Bête l’attendait de l’autre côté des bergeries. Il rentra précipitamment et resta jusqu’au lendemain.

 

Texte du net

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Publié dans #Contes Berrichon

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Publié le 19 Janvier 2018

Les baguettes Chinoises

Février 2016 . On les annonce sur la zone industrielle d'Ozans proche de Châteauroux, en cours de viabilisation. D'après la NR, un véritable scoop, les Chinois débarquent bien. Mais pas dans le secteur et à l'endroit prévu : en quelques mois, plusieurs grosses exploitations agricoles du Sud-Berry viennent d'être rachetées par le groupe Hong-Yang.

Hong-Yang se serait associé à une société amie, Beijing International, pour faire main basse en toute légalité sur des fermes situées à Clion, Châtillon ou Vendœuvres . L'opération est menée en collaboration avec Marc Fressange, un industriel français installé en Chine.

Habituellement, les sociétés d'aménagement foncier et d'établissement rural (Safer) ont leur mot à dire lors de chaque transaction de ce genre. Cette fois, celle de l'Indre n'y a vu que du feu : si l'organisme dispose d'un droit de préemption sur les achats fonciers, les cessions sous forme de part de sociétés échappent à son contrôle. Il suffit donc à l'exploitant individuel de passer en société agricole. Les Chinois rachètent ensuite la majeure partie de ses parts. Et le tour est joué.

............................ Il y a urgence : rien que dans l'Indre, 2.000 hectares de champs et de pâturages seraient déjà tombés dans l'escarcelle de sociétés de l'empire du Milieu.

 

............................... Pourquoi les Chinois achètent-ils nos terres ?L'interrogation s'étalait à la une de l'édition numérique du Journal de Montréal,le 27 janvier dernier. Le même titre pourrait être utilisé dans l'Indre. Alors qu'ils sont plutôt annoncés du côté de la zone économique d'Ozans, des Chinois se lancent en effet dans l'achat de terres agricoles en Sud-Berry.
L'offensive est visiblement importante puisque 1.500 hectares auraient déjà été acquis, à Clion, Châtillon et Vendœuvres, notamment. Ils arrivent. Et lorgneraient dorénavant avec insistance vers la Champagne berrichonne. Le mouvement a été lancé voilà un an. Propriétaire d'une exploitation installée au « Grand Mée », sur le territoire de la commune de Clion, Ronald Ammerlaan a été approché par un agent immobilier. Ce ressortissant néerlandais désormais installé dans la Sarthe, avait eu plusieurs autres acheteurs potentiels. A chaque fois, la transaction s'était opposée au veto des banques. Moins de problème avec la société Hongyang de Hongkong : ses émissaires sont arrivés avec la puissance d'un groupe qui pèserait des milliers d'emplois dans l'empire du Milieu. « Ils n'étaient intéressés que par les terres. La discussion a été serrée. »La transaction était finalement signée, fin septembre.

................................................. Plus d'une centaine d'hectares à Clion. Autant à Châtillon. Un millier à Vendœuvres. Une quatrième exploitation serait tombée dans l'escarcelle.

 

Source : La Nouvelle république . Mis à jour le

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Publié dans #Actualité

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Publié le 19 Janvier 2018

Bonjour à toutes et tous .

Par ce petit mot je lance un appel aux bonnes volontés qui détiendraient des récits ou anecdotes sur la ville de Châtillon sur Indre.De la documentation diverse ou historique seraient également la bienvenue.Tous les textes et photos seront évidemment dûment accompagnés de leurs provenances et de l'auteur ou fournisseur de celles ci.Merci par avance.Pour joindre l'administrateur de ce blog vous trouverez un formulaire de contact .

La Gare de Chatillon.Aujourd'hui disparue.

La Gare de Chatillon.Aujourd'hui disparue.

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Publié dans #Chatillon sur Indre.

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Publié le 17 Juin 2016

Petit conte moral et citadin.Premiere partie

 Petit conte moral et citadin

 

 

Il y a bien longtemps, le long d'un fleuve, éloignées de quelques lieues, deux villes s'observaient. La première était bâtie à flanc de coteau et se nommait Marcheventre, la seconde érigée sur un piton rocheux, se faisait appeler Châtel-le-Val. Chacune de ces villes s'enorgueillissait d'un château et d'un donjon, mais ces châteaux et ces donjons, abandonnés depuis des lustres, menaçaient ruine. Il faut dire que de mémoire de villageois, aucun duc, comte ou baron n'avais jamais résidé en ces lieux. Les deux villes vivaient là, ignorées du monde. Un jour le bourgmestre de Marcheventre décida d'inspecter le château et le donjon de sa ville : il vit que les pierres jonchaient le sol, que des trous béants déchiraient les toitures, que les fenêtres à meneau pleuraient leurs orbites vides. La tristesse envahit cet homme de devoir. A son retour, le bourgmestre réunit les Marcheventrus et leur dit : – Je viens de monter jusqu'au château et au donjon : ils sont en piteux état ! Nos ancêtres les ont construits pour nous, pour assurer notre défense, et nous les avons laissés à l’abandon. Les habitants gardèrent le silence et le bourgmestre repris : – Si chacun d'entre nous voulait partager une partie de son bien, une partie de son savoir et de son travail, peut-être alors pourrions les sauver tous les deux ! Un homme qui avait une carrière de pierres dit : – je peux donner des moellons. Un homme qui avait un bois dit : – Moi je peux vous fournir des grumes. Un autre prit la parole : – Moi je suis charpentier, je peux en faire des poutres et des solives. Tous se manifestèrent, qui pour transporter les pierres et le bois avec son tombereau, qui pour maçonner, qui pour menuiser, qui pour donner à manger à tout le monde.

Le bourgmestre,

les remercia et pensa qu'il avait bien de la chance de vivre au sein de cette communauté si urbaine. Peu de temps après, à son tour, le bourgmestre de Châtel-le-Val entrepris la même inspection dont le résultat fut tout aussi inquiétant, mais seule la résignation se lut sur le visage de cet homme de peu de conviction. Malgré tout, le bourgmestre se décida lui-aussi à réunir ses Chatelvalliens. – Je me suis promené autour de notre château et de notre donjon, leur état m'inspire une réelle inquiétude. Les villageois ne dirent rien et le maire poursuivit : – Pensez-vous que nous puissions faire quelque chose pour les sauver de la ruine ? Un homme dit : – il faudrait des pierres, j'ai bien une carrière mais je ne peux rien donner, j'en ai besoin pour réparer le mur de mon jardin. Un autre ajouta : – Il faudrait du bois pour la charpente, j'ai une petite futaie mais elle suffit à peine à me chauffer l'hiver. Un dernier renchérit : – Je suis charpentier, mais j'ai trop de travail et mon temps c'est de l'argent…

Après quoi

chaque Chatelvalliens rentra chez lui. Dans l'année qui suivit, le chantier autour du château et du donjon de Marcheventre alla bon train. Certains jours il ressemblait à une ruche au printemps. Les pierres tombées furent replacées, des moellons tout neufs furent ajoutés là où ils manquaient, les poutres vermoulues furent changées et des ardoises angevines vinrent colmater les brèches de la toiture, chaque fenêtre à meneau reçut une croisée toute neuve avec des verrières plombées. L'été, le soleil couché, on dressait au pied des murailles une longue table de bois autour de laquelle chaque travailleur s’asseyait, une procession de mets de toutes sortes montait alors de la ville d'en bas pour les rassasier. Souvent des trouvères venaient jouer et chanter pendant ces repas, des repas de fête. Après dix-huit mois, le travail fut achevé, les ruines restaurées. Rien ne restait du chantier, sauf un fois l'an, un grand banquet sous les étoiles pour se souvenir du travail qu'on avait eu plaisir à faire. Pendant tout ce temps, la vie continuait à Châtel-le-Val, morne et terne, au pied des ruines immobiles qui dominaient la ville. Seuls les chutes de pierres par grosse pluie ou fort dégel, ou le vol de quelques ardoises par grand vent, rompaient la quiétude du lieu et dérangeaient les choucas des tours qui y avaient élu domicile. .................

Pascal de Gosselin

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Publié dans #Contes Berrichon

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Publié le 17 Juin 2016

 

Petit conte moral et citadin (suite)

 

Quelques années plus tard, un prince et sa petite suite suivait le fleuve dans l'espoir de trouver un gîte pour l'hiver qui venait. Il était parti guerroyer si loin et si longtemps qu'il ne connaissait plus personne et que son escarcelle était presque vide. Un soir il vit à l’horizon l'image d'un château et d'un donjon en ombre chinoise devant le soleil :

  • Voilà une forteresse certes un peu mal en point mais où nous allons pouvoir déposer nos couches et nos coffres.

    C'était Châtel-le-Val !

     

    Arrivé devant la maison communale, le bourgmestre sortit pour les accueillir :

  • Pouvons nous profiter de l'hospitalité de votre château, nous avons guerroyé et cherchons une demeure pour nous accueillir, demanda le prince ?

    Le bourgmestre acquiesça avec joie, pensant que ce riche noble allait peut-être restaurer le château et le donjon qui en avaient grand besoin.

    Ce dernier leur indiqua une auberge où dîner, mais les prix étaient si exorbitants qu'ils ne prirent qu'un repas pour deux.

     

    Encore affamée, la petit troupe regagna le château afin d'y passer la nuit. Il plut à verse jusqu’au matin et le prince et ses hommes ne purent fermer l'oeil, fuyant les ouvertures sans porte ni fenêtre, évitant le ruissellement de la toiture béante. Il voulurent faire un feu de broussailles dans la grande cheminée, mais elle était obstruée par des blocs de pierres et ils furent enfumés comme des jambons d'Auvergne.

  • Ce n'est pas ici que nous que nous pourrons passer l'hiver, murmura le prince.

     

    Le lendemain au petit matin le prince et sa suite quittèrent Châtel-le-Val pour toujours, en longeant le fleuve.

    Au soir ils aperçurent devant eux une autre ville et un autre château.

  • Nous verrons bien, dit le prince à la cantonade, plus prudent cette fois.

     

     

    Cette fois aussi le bourgmestre de la ville, c'était celui de Marcheventre, les accueillit devant la maison communale, le prince fit sa requête en précisant « pour la nuit seulement ».

  • Mon prince, vous et votre troupe êtes chez vous ici, dans notre château, pour le temps qui vous semblera bon. En attendant suivez-moi, l'aubergiste vous attend.

    Il mangèrent et burent à loisir tant et si bien que le prince se demandait si sa bourse y suffirait. Mais l'aubergiste ne voulut rien accepter, qu'un remerciement.

     

    Une mauvaise surprise les attendait au sortir de la taverne : leurs bagages et leurs chevaux avaient disparus.

    Désabusés une fois encore, ils montèrent au château en espérant que les lieux seraient plus accueillants que la veille.

    Passée la porte, ils eurent une autre surprise : leurs coffres et leur couches avaient été disposés dans une grande salle, au fond un feu de bon chêne crépitait dans la haute cheminée. Dans la pièce  voisine, il y avait une botte de foin devant chacun de leurs chevaux.  

     

    Reposé, dès le lendemain, le prince demanda à rencontrer le bourgmestre. Il lui raconta ses guerres, son dénuement certes momentané, enfin le besoin d'un gîte pour passer l'hiver, lui et ses compagnons.

  • Nous avons restauré notre château et notre donjon, répondit le premier des Marcheventrus, mais ils sont restés vides, sans vie et sans prince. Nous vous offrons à tous le gîte et le couvert en contrepartie de votre protection.

     

    Ainsi fut fait.

    A l'arrivée du printemps, bien des choses avaient changées au château de Marcheventre : chaque pièce était maintenant meublée, des tentures habillaient les murs, même le donjon possédait deux canons défensifs tournés vers la vallée.

    Certains des compagnons du prince avaient trouvé compagne en ville pendant que d'autres cultivaient les champs, jadis en jachère, autour du donjon.

    Il n'était plus question de partir.

     

    Petit à petit des hôtes de marque de plus en plus nombreux et nobles rendirent visite au prince. Leurs escortes hébergées en ville, participaient ainsi à l'essor de la cité.

    Un jour, le roi lui même et sa suite séjournèrent trois jours pleins à Marcheventre.

    Cette bourgade hier inconnue, devint d'un jour à l'autre une étape réputée, on dit même que certains pèlerins sur la route de St. Jacques de Compostelle, faisaient un détour pour admirer son château et profiter de son hospitalité qui était devenue légendaire.

     

     

    De nouveaux artisans s'installèrent, le marché du samedi attirait maintenant la foule des grands jours.

    La tradition du « Banquet de la Restauration » était plus vive que jamais : c'était l'occasion de réjouissances dans toute le ville et au pied du château. Le prince tenait chaque année à présider les festivités.

    Il faisait bon vivre à Marcheventre.

     

    Mais que devenait donc Châtel-le-Val ?

    Rien, rien du tout. La ville qui avait été prospère mourait doucement dans l’indifférence générale de ses habitants. A l'image du château, la ruine, comme une lèpre, gagnait les maison, les échoppes, l'autrefois célèbre marché aux bestiaux.

    Toutefois, certains Chatelvalliens regardaient avec envie du côté de Marcheventre, mais il était trop tard. On ne refait pas le monde avec un simple regard.

 

 

Pascal De Gosselin

 

Remerciements à Monsieur Pascal de Gosselin pour ce petit conte

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Publié le 18 Mars 2016

Le menhir de la Gambade à Chatillon sur Indre

Le menhir de la Gambade à Chatillon sur Indre

 

Le menhir de la Gambade à
 
Chatillon sur Indre
 
Près de la ferme du même nom, il mesure 1,70 mètres de hauteur, la croyance populaire voulait qu'il grandisse de quelques centimètres chaque année alors qu'en fait, c'est le sol qui se tassait sous le piétinement des bovins.
 
 
Note du webmaster: Le menhir d'aprés mes recherches est estimé avoir une hauteur de 1,70 m.La personne et ami qui a bien voulu posé à coté pour la photo mesure environ1,80 m.ce qui voudrait dire que la hauteur enterrée serait approximativement de moins d'un metre.Disons entre 0,50m et 1 m.D'aprés mon observation personnelle je penserai à beaucoup plus.
 
 

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