Publié le 6 Avril 2012

Changer l’image de votre écran

 

Sur votre écran vous avez sans doute envie de mettre une « image » en fond. Dans les temps « anciens », on appelait cela le « papier peint ».Maintenant on appelle cela l’arrière-plan du bureau. Le « bureau « étant tout simplement votre écran.

La procédure est simple.

Cliquez du bouton droit sur votre écran (en n’importe quel endroit, sauf sur une icône déjà présente).

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Une « fenêtre » s’ouvre et un des « onglets » s’appelle  BUREAU

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Dans « bureau » votre écran apparaît avec l’image que vous aviez choisie précédemment ou celle que vous avez trouvée en achetant votre ordinateur.

Choisissez dans la liste une nouvelle image ou si vous préférez mettre une dès votre cliquez sur

« PARCOURIR »

Cette action vous mènera  alors dans les entrailles de votre ordinateur.

Choisissez une nouvelle image dans le dossier « Mes images » ou dans un autre dossier si vous stockez vos images et photos dans un dossier que vous avez créé.

Vous voyez c’était simple, mais il fallait y penser.

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Rédigé par Le blog de Chatillon

Publié dans #Informatique Basic

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Publié le 5 Avril 2012

 

Recette.Oeufs creme d'oignons.YM.JP

Recette.Oeufs creme d'oignons1.YM.JP

 

 

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Rédigé par JP Chatillon

Publié dans #Les recettes faciles de Jeanne

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Publié le 5 Avril 2012

Le mail de Chatillon sur Indre se situe sur les anciens fossés des fortifications . La définition du mot nous apprend qu'il s'agit d'une "promenade publique".Le mail de chatillon à été pendant longtemps le lieu de la foire aux bestiaux.

 

Cartes postales Chatillon .17.

 

Cartes postales Chatillon .24.

  

 

Chatillon.Mail (10)Chatillon.Mail (2)

 

 

Chatillon.Mail (11)

 

Photos de JP ©

 

Chatillon.Mail (12) 

 

Chatillon.Mail (4)

 

Photos de JP ©

 

  Chatillon.Mail (6)

 

 

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Chatillon.Mail (9)

 

 

Photos de JP ©

  Chatillon.Mail (3)

 

 

Chatillon.Mail (5)

 

 

Chatillon.Mail (8)

 

  Photos de JP ©

 

 

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Rédigé par Le blog de Chatillon

Publié dans #Promenade en ville

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Publié le 5 Avril 2012

  

Recette.Coquilles Saint Jacques.YM.JP

 

Recette.Coquilles Saint Jacques1.YM.JP

 

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Rédigé par JP Chatillon

Publié dans #Les recettes faciles de Jeanne

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Publié le 5 Avril 2012

Photos de JP ©

 

Hopital Moderne.JP (4)

 

 

Hopital Moderne.JP (4)sepia

 

 

Hopital Moderne.JP (5)

 

 

Hopital Moderne.JP (5)sepia

 

 

Hopital Moderne.JP (6)

 

 

 

Hopital Moderne.JP (6)sepia

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Rédigé par Blog de Chatillon

Publié dans #Hopital de Chatillon

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Publié le 4 Avril 2012

Les photos ci-dessous sont libres de droits,vous pouvez les emprunter ,je vous les offre.

 

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Grand Cormoran

 Le Grand Cormoran, ou Cormoran commun (Phalacrocorax carbo), est une espèce d'oiseau aquatique qui appartient à la famille des phalacrocoracidés. Son aire de distribution est très vaste (Europe, Asie, Océanie, Afrique, et une frange orientale de l'Amérique du Nord) ; on y distingue habituellement cinq à huit sous-espèces.

Cet oiseau a une taille moyenne de 90 cm (84 à 98 cm) pour 150 cm d'envergure en moyenne (de 130 à 160 cm) et un poids de 2 à 3,7 kg.

Le Grand cormoran vit près de plans d'eau douce, saumâtre ou salée, riches en poissons, mais présentant un courant faible ou nul ; il évite généralement les plans d'eau trop petits ou aux eaux trop profondes. Ce peut être un estuaire, un delta, une mangrove, une baie abritée, un lac, un étang, voire un canal ou un port, port d'eau douce ou une marina.

Quand il ne pêche pas, il se perche très souvent sur un support en hauteur, où il se fait également sécher. Quand un même bosquet d'arbres sert chaque année à la fois de perchoir dortoir lieu de nidification constant à une colonie de cormorans (en bordure de marais souvent), leurs feuilles sont "brûlées" par les fientes de ces oiseaux. Il vit sur une très large aire de distribution (Europe, Asie, Océanie, Afrique, et une frange est de l'Amérique du Nord). Les populations sont concentrées dans les zones où les conditions sont favorables à l'espèce et l'aire de répartition est donc discontinue. Cette aire s'étend entre 74°N et 47°S

Cette espèce peut être sédentaire, partiellement migratrice ou migratrice selon les populations considérées. Seules les populations les plus septentrionales migrent ; toutes les autres sont sédentaires ou se dispersent en dehors de la saison de reproduction. Les populations migratrices réalisent des mouvements migratoires variables : par exemple, les individus de la sous-espèce Phalacrocorax carbo sinensis vivant en Europe centrale migrent vers la Méditerranée jusqu'au Golfe Persique. Les Phalacrocorax carbo carbo européens ne font guère que se disperser en hiver, gagnant souvent la côte (mais de nombreux individus restent dans les terres en Irlande) alors que les populations américaines de cette même sous-espèce (Canada, Groenland, Maine aux États-Unis) migrent vers le sud, certains individus allant jusqu'au New-Jersey, en Caroline du Nord ou du Sud, voire en Floride. Les populations australiennes se dispersent en fonction des inondations ou des sècheresse. 

 

Nature

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

Geai des chênes

Le Geai des chênes (Garrulus glandarius) est une espèce de passereaux de la famille des Corvidae.

Le geai des chênes est reconnaissable à son plumage coloré, rayé de noir et blanc sur la tête, dont les plumes peuvent se dresser (huppe érectile). Son bec est prolongé par une bande noire sous l'œil qui donne l'impression qu'il porte des sortes de moustaches noires.

Son corps est brun rosé sur le dessus et brun plus clair sur le dessous, sa queue est noire, son croupion et son bas-ventre blanc, ses rémiges primaires des ailes sont bleu vif et noir.

Le plumage des jeunes n'est complet qu'au bout d'une vingtaine de jours, et se révèle plus terne que celui des adultes. Ils ne possèdent que quelques stries blanches et noires au sommet de la tête, alors que les adultes en possèdent une dizaine, et la marque noire qui prolonge le bec est moins marquée que chez les adultes.

Son régime alimentaire est omnivore: il se nourrit de larves et d'insectes comme la mésange et le moineau et il a aussi une alimentation végétale. Il affectionne particulièrement les glands des chênes qu'il cache pour l'hiver, et en particulier du chêne pédonculé. Il se régale de préférence de glands qu'il sélectionne rigoureusement en fonction de leur maturité, de leur taille et de leur qualité, en particulier, il veille à ce qu'ils soient exempts de parasites. Au printemps et en été, il se nourrit des glands enterrés et qui ont germé, mais aussi d'autres graines diverses, qu'il n'hésite pas à aller chercher dans les cultures à la lisière des bois. Il apprécie particulièrement le maïs, qui dans certaines zones est devenu une part importante de sa consommation, mais il n'est pas réellement considéré comme nuisible du fait que ses prélèvements sont suffisamment limités et localisés.

Il peut à l'occasion être prédateur et n'hésite pas à s'attaquer aux nids des autres oiseaux pour manger les œufs et même les oisillons (mais ce qui arrive très rarement), ce qui lui a donné une solide réputation de pilleurs de nids.

  Sous son bec, il possède une petite poche dans laquelle il peut aisément stocker les graines qu'il récolte. La capacité de cette poche est de trois à quatre glands qu'il peut ainsi transporter avant de les cacher, car tout au long de l'automne, il se constitue des réserves, qu'il dissimule sous des racines, des mousses, à l'intérieur de souches d'arbre ou même sous le tapis de feuilles. Pour retrouver ses réserves, il a la capacité de mémoriser des points de repères qu'il observe soigneusement. Lorsque les points de repères ne sont pas suffisants, il va jusqu'à placer à côté de sa cachette des petits cailloux qu'il utilisera comme autant de balises. Cependant si ses points de repères sont déplacés ou disparaissent, le geai des chênes devient incapable de retrouver la cachette de ses réserves.

Ainsi le geai des chênes est le meilleur propagateur des chênes et des hêtres. Il a été estimé que chaque geai des chênes disperse plus d'un millier de glands chaque année. Il en mange une partie d'entre eux et en oublie une autre qui pourra germer et croître.

Dans les parcs et jardins des villes, il apprécie les arachides, les vers, les légumes, les céréales, les noix et les baies. La femelle pond de 3 à 6 œufs de couleur verdâtre, d'avril à juin.L'observation du geai des chênes est assez facile, toute l'année, mais plus aisée en zone urbaine qu'en forêt. En ville, il semble le plus actif, tôt le matin

 Nature1

 Photos de JP

 

 

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  Photos de JP

 

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Mésange bleue

La Mésange bleue (Cyanistes caeruleus) est une espèce de passereaux de la famille des paridés.

Plus petite que la Mésange charbonnière (11,5 cm pour un poids de 9 à 12 g), elle se caractérise par sa calotte, son dos, ses ailes et le dessus de sa queue bleus, ses joues et son front blancs, un bandeau noir sur les yeux, sa poitrine et son ventre jaunes, ce dernier étant parfois marqué d'une très fine ligne noire.

Les sexes sont presque indiscernables dans la nature, la femelle étant seulement un peu plus terne que le mâle.

Son envergure est comprise entre 12 et 14 cm.

Cette espèce est présente dans toute l'Europe à l'exception du nord de la Scandinavie. Elle est sédentaire ou migratrice et occupe presque tous les habitats : bois de feuillus, haies, parcs, jardins... Elle vit jusqu'à 1200 mètres en montagne.

Commune, toujours très active et familière, c'est une visiteuse habituelle des mangeoires en hiver. Cette mésange est très acrobate et se suspend volontiers aux boules de suif. Elle aime également s'ébrouer dans les mares peu profondes afin de rafraîchir son plumage.

Elles entrelacent mousses et brindilles de leur logis avec de la lavande, de la menthe, des immortelles, et d'une demi-douzaine d'autres herbes odorantes, plantes connues pour contenir des composés phénoliques tels le camphre ou l'eucalyptol, et qui possèdent des qualités antiseptiques, insecticides ou fongicides. Pour repérer ces herbes très spéciales, les mésanges sont donc capables de se servir de leur odorat, ce dont on doutait pour de si petits oiseaux.

On dit que la mésange zinzinule ou zinzibule, son cri devient strident à l'approche d'un danger, elle avertit ainsi ses proches ou cherche à intimider ses adversaires, comme la mésange charbonnière.

La mésange bleue bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est donc interdit de la détruire, la mutiler, la capturer ou l'enlever, de la perturber intentionnellement ou de la naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu'elle soit vivante ou morte, il est aussi interdit de la transporter, colporter, de l'utiliser, de la détenir, de la vendre ou de l'acheter s'il s'agit d'oiseaux prélevés dans le milieu naturel. Depuis l'arrêté de mars 2006 et pour respecter la réglementation européenne, ces interdictions ne s'appliquent plus aux oiseaux nés et élevés en captivité.

 

Photos JP 

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Photos de JP 04.2012

Texte de wikipedia 

 

 

 

 

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Publié dans #Photos libres de droits

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Publié le 3 Avril 2012

Chatillon.JP

 

 

Chatillon.JP (1)

 

 

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Photos de JP ©

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Rédigé par Le blog de Chatillon

Publié dans #Promenade campaganarde

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Publié le 3 Avril 2012

Mes cartes postales

 

Je collectionne les cartes postales

Il faut dire que j’en ai pas mal

Elles ne sont pas toutes égales en qualité

Mais toutes sont gage d’amitié

Certaines n’ont pas d’age

Souvenirs de voyages

De fêtes, de bons vœux

Témoignages de jours heureux

Toutes je les ai gardées

Car elle sont pleines de gentillesse

D’affection,de tendresse

D’amis parfois disparus

Qui m’évoque un vécu

Me faisant revivre avec émotion

Et une douce satisfaction

Des années d’autrefois

Ou sans foi ni loi

Au temps de ma lointaine jeunesse

Je croquais la vie avec  ivresse

Et ces souvenirs ont beaucoup de valeur

Car ils me réchauffent le cœur

 

Clémentine  ©

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Rédigé par Le blog de Chatillon

Publié dans #Poésies de Clémentine

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Publié le 3 Avril 2012

 

 

Mon jardin

Ce matin dans mon jardin

J’ai vu un joli petit lapin

L’autre jour un gentil écureuil

Voltigeait dans la charmille

Comme j’aurai aimé voir cela en famille

Mon jardin est une volière

Une volière à ciel ouvert

Du haut de ma cheminée la douce tourterelle roucoule

Sa cousine la colombe fut longtemps mon emblème

Charmants oiseaux, comme je vous aime

Mais voilà et cela me chagrine

Je ne trouve plus la rime

Alors pêle-mêle j’énumère

Il y a le pigeon au plumage chatoyant

La pie margot, le merle et sa merlette

Les mésanges à têtes bleus ou noires

Ainsi qu’une foule de petits moineaux

Qui picorent sur ma verte pelouse

Constellée de pâquerettes

Tel un firmament étoilé

Cette gente ailée est un enchantement

Qui fait vivre mon environnement

Peuplé de beaux arbres

Ou mes petits amis viennent nicher

Aussi j’apprécie de profiter

De cet endroit privilégié

 

 

 

Clémentine  ©

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Rédigé par Le blog de Chatillon

Publié dans #Poésies de Clémentine

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Publié le 3 Avril 2012

Béatrice est native de Chatillon ou se trouve toutes ses racines familiales. Elle s’est penchée sur la peinture au fil des années. Il fallut attendre l’âge de la trentaine pour qu’elle se lance avec ardeur dans cette voie. Le début fut marqué de beaucoup d’hésitations, et c’est avec beaucoup de timidité qu’elle réalisa ses premières toiles en se cherchant un style personnel. Petit à petit son besoin de peindre lui permit de trouver sa voie que l’on peut appeler « abstraction lyrique ».La nature, les mouvements, les couleurs et l’harmonie furent des inspirations pour s’exprimer pleinement. Chaque toile nécessite un travail bien particulier et le temps d’élaboration peut se situer de quelques heures à quelques jours, voire quelques mois suivant l’inspiration et le sujet traité. Actuellement un style s’est imposé, plein de gaité et de fraicheur.

« J’utilise peu de variété de peinture, jouant plutôt avec les dégradés que m’offrent mes couleurs »

Béatrice Sinault Chatillon sur Indre

 

BeatriceS (1)

 

 

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BeatriceS (19)

 

 

BeatriceS (20)

 

 Pour tous contacts

BeatriceS.Carte

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Rédigé par Le blog de Chatillon

Publié dans #Artistes de Chatillon.

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Publié le 3 Avril 2012

  Armoiries

Documentation-historique 5206

 

Sceau des Sorbiers

Documentation-historique 5205

 

Documentation-historique 5205+

 

Blason des Sorbiers

Par la suite ont été ajoutées 3 sorbes d'or que l'on retrouve sur les armes des Sorbiers de la Tourrasse
blason De Sorbiers

 

Les Sorbiers de Touraine et Berry,

 

Une famille dix fois centenaire

La maison des Sorbiers est l’une des plus anciennes de Berry. Selon La Thaumassière  (in Histoire du Berry  1658) ce proverbe avait cours : « N’est gentilhomme à demy qui n’est Sorbiers de Touraine ou Berry ». La  première trace écrite de la maison de Sorbiers remonte à 1071 (Bibliothèque Nationale Mss Français 20230, p.266). Elle est due à Ganelon de Sorbiers qui atteste d’une donation faite à l’Eglise St Aoustrille (devenue depuis Eglise Notre-Dame) à Chatillon-sur-Indre. Les Sorbiers se succèdent : Jehan I, II, III, IV. C’est à ce dernier que l’on doit le château de Pouzieux au 15ème siècle.

Renaud I , fils de Jehan IV est l’ancêtre des trois branches des Sorbiers :

 1) Sorbiers de Pruneaux,

2) Sorbiers de Pouzieux (ces deux branches sont maintenant éteintes)

3 ) les Sorbiers de la Tourrasse, toujours existante de nos jours.

Loÿs de Sorbiers, 3e fils de Renaud I était ami intime de Louis XI. Chambellan du roi, Grand écuyer du duc de Guyenne, Capitaine de  100 hommes, Gouverneur de Domme et de Bergerac il est nommé Sénéchal de Périgord et de Quercy. Dans une lettre de 1465 Louis XI lui témoigne son estime.

C’est par son fils André, que le nom de « La Tourrasse » apparaît. André épouse Jeanne de Timbronne, petite fille de Guillaume II de Timbronne, seigneur de La Tourrasse. Le nom de « La Tourrasse » fut  ajouté aux Sorbiers par substitution plus tardivement.

La lignée des Sorbiers continua de prospérer. On trouve en 1698 une preuve de la noblesse des Sorbiers par l’Intendant de Bordeaux : « La famille de Sorbiers, alias du Sorbiers, avait été, de temps immémorial, au rang de la noblesse de première race et ses armoiries furent enregistrées  à l’Armorial général de France…d’azur à trois sorbes d’or. » Dans les années 1720, Anne de Sorbiers de la Tourrasse, fille de Jean-Jacques de Sorbiers, fut Dame de justice à l’Ordre de Malte et dut y faire preuve de ses quartiers de noblesse. En 1807, François-Aristide du Sorbiers de la Tourrasse épouse Marie Groussou, une descendante directe de l’illustre écrivain et penseur Michel Eyquem de Montaigne.

En 1898, un Joseph du Sorbiers de la Tourrasse part pour la Russie. On le retrouve enseignant le français à l’Académie militaire impériale de St Pétersbourg. Un de ses fils, André, se distingue par une œuvre littéraire enfantine importante et par une dizaine d’opéras-comiques en collaboration avec des musiciens de renom tels Claude Arrieu, Maurice Thiriet, George Delvincourt, Jacques Ibert… 

De nos jours, la famille du Sorbiers de la Tourrasse est représentée par Guy, vivant à Paris, et par Sylvain, chevalier de l’Ordre de St Grégoire le Grand,  vivant à Blois. Ce dernier a deux fils : Bruno et Arnaud. De Bruno sont issus 4 garçons : Edouard, Pierre-louis, Gonzague et

Enguerrand. Quant à Arnaud, il a pour le moment un fils : Ambroise.

On est en droit de penser que la lignée des Sorbiers continuera de se perpétuer et qu’elle a maintenant dépassé son millénaire. En effet Ganelon avait au minimum une vingtaine d’année lorsqu’il atteste en 1071 d’une donation à l’Eglise de Chatillon. Ce qui est sûr également c’est que Ganelon avait un père et un grand-père. Nous sommes donc certains que la famille du Sorbiers remonte à avant l’an 1000. C’est l’une des familles les plus anciennes de France. Des traces  évoquent la date de l’an 980, mais la filiation écrite en ligne directe n’est pas certaine. Elle l’est à compter de 1071.

 

                                                        Sylvain du Sorbiers de la Tourrasse

 

                                                                                                                      Le 2 avril 2012

Texte et documentation de Sylvain du Sorbiers de la Tourasse.Photos mises en forme par JP 

 

 

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Publié dans #Histoire

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Publié le 2 Avril 2012

Pâté de Pâques. Pâté Berrichon

Ingrédients

Une farce bien équilibrée de viande de porc avec :

-Epaule

-Poitrine

-Gorge

--------- Rajouter à celle-ci Poivre Oignons, Persil

Bien mélanger

i

Faire une pâte feuilletée

i

Préparer de l’œuf pour la dorure

i

Couper les œufs durs

i

Mettre en forme la farce sur la pâte feuilleté puis disposez les ½ œufs sur celle-ci.

i

Cuisson : 1 heure thermostat 6/7 à 200/210°

TRUCS du CHEF :

Bien piquer la pâte pour que le pâté n’éclate pas.

Préparer le tout la veille et cuire le lendemain pour une meilleure diffusion des arômes.

 

Conseils de Laurent Aufrere, pâtissier à Chatillon Sur Indre

Propos recueillis par JP

 

 

Ingrédients......................oeufs..................................................................farce...................

 Paté de Paques.Aufrere.JP    Paté de Paques.Aufrere.JP (1)

.............. La pâte feuilletée

Paté de Paques.Aufrere.JP (2)        Paté de Paques.Aufrere.JP (3)

 On étale la farcePaté de Paques.Aufrere.JP (4)   sur la pate feuilletée 

 

 

  Paté de Paques.Aufrere.JP (7)

 Sur cette photo,4 sont préparés

 

On dispose les oeufs

Paté de Paques.Aufrere.JP (8)

 

 On prépare le jaune d'oeuf pour la dorure

 Paté de Paques.Aufrere.JP (9)

 

On dispose tous les oeufs 

Paté de Paques.Aufrere.JP (10)

 

On releve la pâte

 Paté de Paques.Aufrere.JP (12)

 

On ferme bien le "paquet"

Paté de Paques.Aufrere.JP (13)

 

 

Le pâté est presque prêt

Paté de Paques.Aufrere.JP (15)

 

 

La dorure est appliquée

Paté de Paques.Aufrere.JP (16)

 

On dispose une"feuille " de pâte sur le pâté

Paté de Paques.Aufrere.JP (17)

 

 

Un petit coup de "pub" pour notre patissier.........

Paté de Paques.Aufrere.JP (19)

 

 

Le coup de couteau décoratif du Maitre

Paté de Paques.Aufrere.JP (21)

 

Le dessin prend forme

Paté de Paques.Aufrere.JP (22)

 

La derniere phase........................la cuisson 

 Paté de Paques.Aufrere.JP (23)

 

Merci à Laurent Aufrere pour toutes ces expliquations.

Photos de JP

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Publié dans #Cuisine Berrichonne

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Publié le 2 Avril 2012

Par Laurent Aufrere ,patissier à Chatillon Sur Indre

 

Pâté de Pâques. Pâté Berrichon

Ingrédients

Une farce bien équilibrée de viande de porc avec :

-Epaule

-Poitrine

-Gorge

--------- Rajouter à celle-ci Poivre Oignons, Persil

Bien mélanger

 

Faire une pâte feuilletée

 

Préparer de l’œuf pour la dorure

 

Couper les œufs durs

 

Mettre en forme la farce sur la pâte feuilleté puis disposez les ½ œufs sur celle-ci.

 

Cuisson : 1 heure thermostat 6/7 à 200/210°

TRUCS du CHEF :

Bien piquer la pâte pour que le pâté n’éclate pas.

Préparer le tout la veille et cuire le lendemain pour une meilleure diffusion des arômes.

 

Conseils de Laurent Aufrere, pâtissier à Chatillon Sur Indre

  On étale la farce sur la pate feuilletée

Paté Berrichon.Aufrere.JP1

 

On dispose ensuite les 1/2 oeufs 

Paté Berrichon.Aufrere.JP1 (1)

 

On termine  

Paté Berrichon.Aufrere.JP1 (3)

 

 

  On recouvre de pâte feuilletée

Paté Berrichon.Aufrere.JP1 (4)

 

Photos de JP

 

A noter : La difference entre le paté de Paques et le paté Berrichon est dû au fait que l'un est familial et l'autre est présenté plus grand,et l'on coupe des petites parts individuelles.

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Publié dans #Cuisine Berrichonne

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