chateaux de la loire

Publié le 7 Mars 2012

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Publié le 7 Mars 2012

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Publié le 28 Février 2012

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Publié le 28 Février 2012

Le château de Villesavin est un château situé sur la commune de Tour-en-Sologne, dans le département de Loir-et-Cher (41), en France.

Il se trouve plus précisément à 17 km de Blois, 9 km de Chambord et 6 km de Cheverny.

Il fut édifié entre 1527 et 1537 par Jean le Breton, seigneur de Villandry, et secrétaire des finances du roi François Ier et chargé par celui-ci de la conduite et des paiements des importants travaux de Chambord.

Il est inspiré des villas de la Renaissance italienne et les façades font référence au château de Chambord. Le corps de bâtiment principal n'a qu'un seul étage. Les tours rondes que l'on trouvait auparavant, furent remplacées par des pavillons carrés symétriques. On peut y observer les lucarnes traditionnelles du Val de Loire. L'escalier principal se trouve à l'intérieur du corps central.

À l'entrée de la cour d'honneur sont bâtis deux pavillons, dont l'un abrite la chapelle.

Il a été inscrit le 5 octobre 1928 puis classé monument historique par arrêté du 10 juillet 1959.

 

Le Château de Villesavin est une propriété privée

 

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Publié le 26 Février 2012

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Publié le 26 Février 2012

 

 

Cheverny a inspiré Hergé pour la création du château de Moulinsart, qui en est la réplique amputée de ses deux pavillons extérieurs.

 

Cheverny héberge actuellement une meute et organise régulièrement des chasses à courre.

 

 

Les terres du château furent achetées par Henri Hurault, Comte de Cheverny, Lieutenant Général des Armées du Roi de France, et Trésorier Militaire du roi Louis XI, dont le propriétaire actuel, le marquis de Vibraye, est le descendant. Du château primitif datant de 1500, il ne reste que de rares vestiges, dont la trace est encore visible dans les communs.

 

 

Après qu'il eut été récupéré par la couronne pour cause de fraude envers l'état, il fut donné par le roi Henri II à sa maîtresse Diane de Poitiers. Néanmoins, celle-ci lui préféra le Château de Chenonceau et vendit la propriété au fils du précédent propriétaire, Philippe Hurault de Cheverny, et à son épouse, Anne de Thou, Leur fils, Henri et son épouse, Marguerite Gaillard de La Morinière, bâtirent le château entre 1624 et 1630. La fille de ses derniers, Élisabeth, marquise de Montglas, achève la décoration intérieure. La Grande Mademoiselle qualifiera le château terminé de "palais enchanté".

 

Ils en ont confié la réalisation à l'architecte Jacques Bougier (dit Boyer de Blois), qui avait assisté Salomon de La Brosse dans la construction du château de Blois. La décoration a été achevée par la fille d'Henri Hurault et de Marguerite, la Marquise de Montglas, vers 1650, avec l'aide du sculpteur et menuisier Hevras Hammerber et du peintre Jean Mosnier (1600-1656), originaires de Blois……../……

 

Durant les cent cinquante années suivantes, il changea maintes fois de propriétaires et passe entre les mains de Jean-Nicolas Dufort de Cheverny (introducteur des ambassadeurs) en 1764, et on y entreprit de grands travaux de rénovation en 1765. Propriété de Jean-Nicolas Dufort de Cheverny pendant la Révolution française, le château est épargné. Après être passé par les mains du Comte Germain de Montforton sous le premier Empire, il fut racheté par Anne-Victor Hurault, marquis de Vibraye en 1825.

 

En 1922, le marquis de Vibraye, propriétaire des lieux, ouvrit le château au public. La famille y habite toujours et le château de Cheverny est devenu l'un des châteaux de la Loire les plus visités, renommé pour ses intérieurs riches et sa collection d'objets d'art et de tapisseries

 

Le château reçoit la visite d'Elizabeth Bowes-Lyon, reine-mère d'Angleterre en 1963.

C'est l'un des plus célèbres châteaux de la Loire avec ceux de Blois et de Chambord, tout proches. Blois est une construction qui porte les strates de style s'étendant sur quatre siècles d'architecture, Cheverny est construit dans un style classique homogène, à l'aide d'un matériau, traitée en appareil de bossages plats, striés de refends horizontaux, la « pierre de Bourré », un tuffeau originaire de ce village du Loir-et-Cher, qui a la particularité de blanchir et durcir en vieillissant, ce qui explique la blancheur de sa façade sud. Celle-ci est ornée de bustes d'empereurs romains. Les toits des pavillons latéraux, sous forme de dômes carrés surmontés de campaniles ajourés, encadrent les hauts toits à la française du corps principal.

 

Le château est classé sur la liste des monuments historiques de 1840, et se fait déclasser le 9 juillet 1888[2]. Quelques années plus tard, l'ensemble du château et de ses communs, à l'exception des parties classées, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 13 février 1926.. Le parc, ainsi que l’ensemble des bâtiments s'y trouvant, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 5 décembre 2008. Une partie du domaine fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 30 juin 2010. Cette dernière protection concerne la totalité du château, les façades et toitures de l'orangerie, ainsi que la perspective nord-sud du parc.

 

 

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Publié le 24 Février 2012

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Publié le 24 Février 2012

Personnalités de Montrésor

 

Imbert de Batarnay (1438-1523) :

Seigneur de Montrésor, conseiller de quatre rois de France : Louis XI, Charles VIII, Louis XII et François Ier.

 

Anne de Batarnay, duc de Joyeuse

Claude de Bourdeille (1608-1663) :

Seigneur de Montrésor, Grand veneur de Gaston d'Orléans, il participe en 1636 à un complot dont le projet est d'assassiner Richelieu. Il sera inquiété durant l'affaire des importants et participera à la Fronde. Il nous a laissé ses mémoires nommées : Mémoires de Montrésor.

 

Xavier Branicki (1816-1879) :

Né à Varsovie en Pologne, exilé en France, il achète en 1848 le château de Montrésor ; ami des Bonaparte et notamment du prince Jérôme, oncle de Napoléon III, il est un des grands personnages du Second Empire.

 

En 1849, il crée le journal La Tribune du peuple ; il est cofondateur du Crédit Foncier et l'auteur d'un ouvrage sur la libération de la France par un impôt sur le capital.

 

Moreau de Tours (1804-1884) :

Né à Montrésor, médecin, père de la psychopharmacologie.

 

Roger Moreau :

Maire de Montrésor (1945-1977) et sénateur (1975-1983)

 

source:Wikipedia

 

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Publié le 24 Février 2012

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La forteresse médiévale

Un éperon rocheux dominant la vallée de l’Indrois est le lieu choisi par Foulques Nerra, Comte d’Anjou, pour faire édifier par son capitaine Roger le Petit Diable vers 1005 une puissante forteresse. Montrésor possédait l’un des tout premiers donjons de pierre, semblable à celui de Loches, dont il ne subsiste malheureusement que le mur ouest remanié. Au XIIe siècle siècle, Montrésor tombe aux mains d’Henri Plantagenêt ; les imposantes tours de l’entrée sont édifiées ainsi qu’une partie de la courtine nord. En 1188, Philippe Auguste reprend Montrésor aux Anglais. André de Chauvigny, grand chevalier à son retour de la troisième croisade avec Richard Cœur de Lion, devient le nouveau seigneur de Montrésor avant de devoir céder le château pour presque deux siècles aux Palluau.

 

Le Logis Renaissance

À partir du XVe siècle, avec la présence de plus en plus fréquente de la Cour en Touraine, Montrésor devient le lieu de vie des courtisans et des serviteurs du royaume. C’est le cas de l’épouse d’André de Villequier, Antoinette de Maignelais, cousine d'Agnès Sorel, qui deviendra elle aussi à la mort de sa cousine la maîtresse du roi Charles VII de France. En 1493, Imbert de Batarnay achète Montrésor fait construire une élégante résidence dominant l’Indrois. Imbert de Batarnay est un personnage influent, conseiller et chambellan de quatre rois de France : Louis XI, Charles VIII, Louis XII et François Ier. Ce serviteur du royaume a une longévité dans cette fonction peu fréquente pour l’époque, mais l’homme est habile et rusé ; il est présent dans toutes les négociations de son temps. On lui doit notamment le mariage d’Anne de Bretagne avec le roi, acte scellant le rattachement de la Bretagne au royaume de France. On lui confia les préparatifs des guerres d’Italie et l’éducation des enfants de Louis XII et François Ier.

 

Les Polonais

Le château connut au XVIIe siècle et XVIIIe siècle d’autres prestigieuses familles comme les Bourdeille ou les Beauvilliers.

 

La Révolution devait marquer le début de son déclin. Vers 1845, le comte Jouffroy de Gonsan fit détruire l’aile ouest du logis Renaissance ainsi que la chapelle castrale.

 

C’est un riche comte polonais émigré qui devait faire renaître Montrésor. En 1849, Xavier Branicki, ami de Napoléon III, entreprend la restauration complète du château, le remeuble et le décore de tableaux de maîtres. Grand personnage du Second Empire, on lui doit entre autres la fondation du Crédit Foncier.

 

À Montrésor, il transformera ses propriétés en des exploitations agricoles modernes. Montrésor fut alors le cadre de somptueuses fêtes avec le prince Napoléon, cousin germain de l'Empereur.

 

Source texte:Wikipedia

 

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Publié le 23 Février 2012

 

 

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Publié le 23 Février 2012

 

Photo ci dessus:Wikipedia

 

Le premier château édifié à Chenonceau remonte au XIIIe siècle, ainsi qu’un moulin fortifié datant de 1230, date à laquelle il est aux mains de la famille Marques. Le pont n'existe pas encore, et ne sera construit que bien plus tard. Ainsi, l'aspect stratégique du premier château ne réside pas dans un quelconque contrôle du passage d'une rive à l'autre, mais davantage dans une gestion du trafic fluvial sur le Cher, entre la Sologne et le Berry d'un côté, et la Touraine et l'Anjou de l'autre.……………/……………

Plus tard, Jean II Marques sollicite Charles VII dans le but de reconstruire un château sur le domaine. L’autorisation lui est donnée par lettres patentes en 1432. Le château est alors reconstruit à un autre emplacement, et présente une architecture nouvelle : appuyé au Cher, il délimite un espace presque carré (de 50 x 55m), terrassé et maçonné, entouré sur trois côtés de fossés d’eaux vives, le Cher terminant d’isoler le bâtiment[5]. Il est cantonné aux angles de quatre tours rondes, les bases baignant dans les douves, munies de courtines, entre lesquelles se dressent les corps de logis, interrompus par les fortifications de la porte d’entrée. De ce château féodal ne subsiste de nos jours que la tour sud-ouest connue sous le nom de « tour des Marques ». Derrière le château, sur les rives du Cher, est bâti un moulin sur deux piles de pierre……………/………….

L’un des successeurs de Jean II, Pierre Marques, épouse Martine Bérart, fille d’un trésorier de France et maître d’hôtel de Louis XI. Une mauvaise gestion du domaine, entrainant la famille dans de graves difficultés financières, contraint cependant le 8 février 1512 à la saisie du fief, dont Thomas Bohier, bourgeois de Tours récemment anobli, se porte acquéreur[6]. pour 12 540 francs. Les Marques se retirent ainsi au manoir du Couldray, à Saint-Martin-le-Beau. En 1499, Guillaume Marques, frère de Pierre, revendique le domaine en invoquant la clause de retrait lignager, et engage des procédures en vue de récupérer le domaine…………./………..

 

À son décès, sa fille Catherine Marques reprend le flambeau, et obtient en partie satisfaction, forçant Thomas Bohier à loger au château des Houdes, où il avait fait construire un logis. Catherine épouse François Fumée (le fils d’Adam Fumée), seigneur des Fourneaux. Elle engage de nouvelles procédures en vue d’acquérir également les Houdes, afin que l’ensemble des anciennes terres de la famille lui revienne.……………/…………

Thomas Bohier et sa femme vont entreprendre de nombreux travaux, amorçant la transformation du domaine, et sa mue vers ce que nous observons aujourd’hui. Il rase l’ancien château des Marques. La plate-forme d’origine est gardée mais ne devient qu’une esplanade d’accès au nouveau château. Ce nouveau logis est édifié sur les piles de l’ancien moulin. Des anciens bâtiments, ne restent que la tour des Marques et le puits attenant. Les travaux durent de 1513 à 1521, et sont surtout dirigés par Catherine Briçonnet, pendant les longues absences de son mari………………./………………..

 

Thomas Bohier meurt en 1524. Sa veuve meurt deux ans après, en 1526.

À sa mort un contrôle des comptes publics met en évidence des malversations. François Ier impose alors une forte amende à ses héritiers (le roi réclame près de 190 000 livres tournois au fils de Thomas, Antoine) et confisque le domaine en 1535…………/…………

 

En mai 1864, les Villeneuve, après la création de la gare de Chenonceaux, vendent le château et 136 hectares de terres pour 850 000 francs à Marguerite Pelouze, née Wilson, richissime héritière qui de 1867 à 1878 en confia la restauration à l'architecte Félix Roguet ; parmi ses grands - et ruineux - travaux figurent le rétablissement dans son état initial de la façade d'entrée modifiée par Catherine de Médicis, la seconde volée de l'escalier, plusieurs cheminées de style Renaissance et la porte de la chapelle, à la sculpture de très grande qualité.

source:texte wicipedia

 

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Merci à mon ami André de m'avoir permis la publication de ces photos

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Publié le 22 Février 2012

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La maison de l'Ave Maria

 

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Publié le 22 Février 2012

Située sur les terres de l’Anjou, possession anglaise au XIIe siècle, la ville de Montrichard a été rattachée à l’Angleterre pendant 35 ans. Elle redevient française grâce à Philippe Auguste qui s’empare de la place forte en 1188. Le château est alors renforcé et entouré de ses trois murs d’enceintes. Un logis royal, dans lequel ont séjourné un grand nombre de souverains, est construit au pied du donjon.

L’hôtel d’Effiat doit son nom à son ancien propriétaire, le marquis d’Effiat, seigneur de Montrichard. À sa mort, la demeure de style renaissance devient un hôpital-hospice. Elle abrite aujourd’hui plusieurs associations.

 

 

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Source:Texte du net.Photos de JP ©

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Publié le 28 Janvier 2012

La bourgade primitive de Loches est citée par Grégoire de Tours sous le nom de Lucca ou vicus Loccae. Le site sous la dénomination érudite de castrum luceae est déjà occupé par les Romains qui ont placé la petite cité à la frontière de la province d'Aquitaine. Quelques traces de cette époque subsistent : on a retrouvé au lieu dit Cornillé (Corniliacus ou villa de Cornelius) des pièces d'or de l'époque romaine; l'aqueduc romain de Contray, dont des piliers sont encore debout, témoignent d'une exploitation agricole antique; enfin le bénitier de la Collégiale saint Ours provient d'une colonne gallo-romaine dédiée aux dieux de l'Olympe.

 

La christianisation est marquée par l'établissement au Ve siècle, d'une église dédiée à sainte Marie-Madeleine, par Saint Eustache, évêque de Tours. En 491, Ursus de Cahors connu sous le nom de Saint Ours, implante un monastère dans la partie nord de l'actuelle cité médiévale et construit un moulin sur l'Indre pour les moines. À sa mort en 508, Senoch lui succède à la tête du monastère, il a donné son nom à un village voisin: Saint-Senoch.

 

 

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Source : Photos de JP © /texte de Wikipedia

 

 

 

 

 

 

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