patrimoine

Publié le 22 Juin 2015

Un remerciement au club de voitures anciennes AAR et à son Président Monsieur P.ALBIN et un grand merci à Monsieur Hétroy Maire de Chatillon sur Indre d'avoir honoré de sa présence les deux journées de la Prévention Routière et l'exposition des voitures anciennes.

Voitures anciennes.Chatillon  12/13 juin 2015.Photos de Jipé.Non libres de droits.
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Voitures anciennes.Chatillon  12/13 juin 2015.Photos de Jipé.Non libres de droits.
Voitures anciennes.Chatillon  12/13 juin 2015.Photos de Jipé.Non libres de droits.
Voitures anciennes.Chatillon  12/13 juin 2015.Photos de Jipé.Non libres de droits.
Voitures anciennes.Chatillon  12/13 juin 2015.Photos de Jipé.Non libres de droits.
Voitures anciennes.Chatillon  12/13 juin 2015.Photos de Jipé.Non libres de droits.
Voitures anciennes.Chatillon  12/13 juin 2015.Photos de Jipé.Non libres de droits.
Voitures anciennes.Chatillon  12/13 juin 2015.Photos de Jipé.Non libres de droits.

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Publié le 14 Juin 2015

Le Caber

Il n'y a pas de règles particulières sur les dimensions sur le tronc d'arbre (poids, taille, type de bois, circonférence, etc.), en fait le tronc utilisé dans les compétitions varie dans ses caractéristiques à chaque événement (les Highland Games). En général, lors de ces manifestations, différentes catégories existent selon le tronc d'arbre. Traditionnellement, un caber mesure entre 5 et 6,5 mètres et pèse entre 35 et 60 kilogrammes, d'où la nécessité pour les concurrents de posséder beaucoup de force puisqu'ils doivent soulever le tronc puis le balancer verticalement.

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Publié le 14 Juin 2015

Tir à la corde, tug of war en anglais (de tug qui veut dire tirer) Les jeux des Highlands (Highland games en anglais) sont des évènements sportifs se déroulant tout au long de l'année, en Écosse et dans d'autres pays, et dont le but est de célébrer la culture écossaise, et principalement l'héritage culturel et sportif des Highlands. Certains aspects des jeux sont devenus emblématiques de l'Écosse ; c'est le cas notamment des défilés de joueurs de cornemuse, des participants habillés en kilt, et des épreuves de force. Les plus célèbres en sont probablement le tir à la corde (tug of'war en anglais) et Toss the Caber, un lancer de tronc d'arbre ; celui-ci, mesurant entre 5 et 6,5 mètres, doit atterrir perpendiculairement au sol. Si certains font remonter la tradition des jeux des Highlands au XIe siècle et au roi Malcolm III d'Écosse, les jeux sous leur forme actuelle ont été développés au XIXe siècle, à la période victorienne, après les Clearances. Bien que centrés sur les compétitions de cornemuses, de tambours-majors, de danse des Highlands et d'épreuves de force, les jeux des Highlands sont aussi le lieu de spectacles et d'expositions liés aux différents aspects de la culture traditionnelle écossaise, et particulièrement gaélique. Les jeux tenus à Dunoon chaque août, appelés Cowal Games, sont les plus importants tenus en Écosse, avec près de 3 500 participants et quinze à vingt mille spectateurs venus du monde entier. Au niveau mondial, les jeux attirant le plus de personnes se déroulent aux États-Unis, à l'initiative du Caledonian Club de San Francisco fondé en 1865.

Fête franco écossaise à Chatillon sur Indre.06.2015.Photos non libres de droits
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Fête franco écossaise à Chatillon sur Indre.06.2015.Photos non libres de droits
Fête franco écossaise à Chatillon sur Indre.06.2015.Photos non libres de droits
Fête franco écossaise à Chatillon sur Indre.06.2015.Photos non libres de droits
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Fête franco écossaise à Chatillon sur Indre.06.2015.Photos non libres de droits
Fête franco écossaise à Chatillon sur Indre.06.2015.Photos non libres de droits
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Publié le 11 Novembre 2014

 

 

 

Le mot « poilu » désignait aussi à l’époque dans le langage familier ou argotique quelqu’un de courageux, de viril (cf. par exemple l’expression plus ancienne « un brave à trois poils », que l’on trouve chez Molière, de même les expressions « avoir du poil » et « avoir du poil aux yeux » ou l’admiration portée à quelqu’un « qui a du poil au ventre ».

 

Dans son ouvrage L’Argot de la guerre, d'après une enquête auprès des officiers et soldats, Albert Dauzat donne la même explication :

 

« Avant d’être le soldat de la Marne, le « poilu » est le grognard d’Austerlitz, ce n’est pas l’homme à la barbe inculte, qui n’a pas le temps de se raser, ce serait trop pittoresque, c’est beaucoup mieux : c’est l’homme qui a du poil au bon endroit, pas dans la main ! » C’est le symbole de la virilité2.

 

Ce terme militaire datant de plus d’un siècle avant la Grande Guerre, « désignait dans les casernes où il prédominait, l’élément parisien et faubourien, soit l’homme d’attaque qui n’a pas froid aux yeux, soit l’homme tout court ».

 

À l’armée, les soldats s’appellent officiellement « les hommes ». Marcel Cohen, linguiste lui aussi mobilisé et participant à l’enquête, précisa qu’en langage militaire le mot signifiait individu.

 

Jehan Rictus, poète et écrivain populaire fut beaucoup lu dans les tranchées. Dans ses textes, l'homme du peuple est nommé "poilu" : "Malheurs aux riches/Heureux les poilus sans pognon".

 

Mais depuis 1914, dit Albert Dauzat qui étudiait l’étymologie et l’histoire des mots, le terme « poilu » désigne pour le civil « le soldat combattant » qui défend notre sol, par opposition à « l’embusqué ».

 

Le mot « fit irruption du faubourg, de la caserne, dans la bourgeoisie, dans les campagnes plus tard, par la parole, par le journal surtout, avec une rapidité foudroyante ».

 

Une version populaire de la signification prétend que le surnom fut donné pendant la Grande Guerre, du fait des conditions de vie des soldats dans les tranchées. Ils laissaient pousser barbe et moustache et, de retour à l’arrière, paraissaient tous « poilus ». Cette version ne peut trouver de fondements que dans les débuts de la guerre, car dès lors que les gaz eurent fait leur apparition, les masques à gaz bannirent la barbe des visages des soldats ainsi que du règlement militaire. Les journaux qui transmettaient les informations sur la guerre et le front étaient directement sous l’autorité de la censure et de l’armée, et n’utilisaient pas ce surnom. D’ailleurs, puisqu’il était interdit de diffuser des images prises en première ligne, celles illustrant journaux et cartes postales mettent en scène des acteurs ou au mieux des permissionnaires, non tenus aux exigences des premières lignes.

source texte:Wikipedia

Photo du grand père de l'auteur faite à Besancon.Doubs.

Photo du grand père de l'auteur faite à Besancon.Doubs.

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Publié le 9 Février 2012

 

 

Châtillon la Tour César

Photo de David Dewitte ©

 

Le nom Tour César ou Tour de César ou Tour de L'aigle vient du nom de César de Vendôme ,grand Amiral de France.

(Rien à voir avec le César romain qui fit la conquête de la Gaule)

…………………../……………………

Châtillon devient le siège d'une élection par démembrement de celle de Loches, en septembre 1581, et comprenant treize paroisses. Pour permettre la construction d'un auditoire, tribunal de justice, et d'une prison, des lettres patentes du 27 septembre 1594 prévoient la levée d'un impôt de 1000 livres dans l'élection.

 

Florent Guyot vendit ses droits sur Châtillon à César de Vendôme le 19 décembre 1605 pour 34 886 livres. Bien que la terre était vendue à un seigneur engagiste, le roi conservait le droit de nommer le capitaine du château. C'est ce que fait Henri IV en nommant le 31 avril 1610 le baron de Sennevières, protestant, de la charge de capitaine du château de la ville. Cette nomination a été confirmée le 22 février 1611 par Louis XIII. Les habitants vont entrer en conflit avec lui pour la construction d'une porte - la porte Nord - et l'ouverture des murailles de la ville sans autorisation du roi. Le conseil du roi examina la plainte le 22 février 1611 et ordonna d'arrêter les travaux et de remettre la muraille dans l'état qu'elle avait avant les travaux.

 

Châtillon devient le siège d'un bailliage et d'un présidial par démembrement du présidial de Tours, en 1639. Le bâtiment est construit dans le quartier Saint-Nicolas.

 

Le 19 février 1648, César de Vendôme vend la terre de Châtillon à Georges Ysoré, conseiller du roi, capitaine de cent hommes d'armes, lieutenant général du gouvernement de Touraine, marquis d'Airvault, pour la somme de 60 000 livres. L vente comprend la charge de capitaine du château. Il fit d'importants travaux dans le château. Il est encore seigneur par engagement dans un acte du 3 mars 1661……………..

 

 

Un peu d'histoire……………..

 

Le château de Chatillon joua un rôle important dans les luttes entre Henri II d' Angleterre et Philippe-Auguste. Henri II fit construire une puissante forteresse entre 1160 et 1185 (dont subsiste le donjon, de forme légèrement conique, et sa chemise). Le château fut réuni au domaine royal au début du 13e siècle. En 1272 fut construit un logis (date obtenue par dendrochronologie de la charpente). Philippe III continua les travaux qui furent terminés vers 1289. Une chapelle à deux niveaux est accolée au logis ; sa charpente fut reprise au 14e ou au 15e siècle. Contre la courtine nord s' appuie un bâtiment utilisé comme prison de 1595 jusqu' au 19e siècle ; sa charpente fut mise en place entre 1379 et 1384. Le château fut délaissé par la royauté dès le début du 16e siècle. Aux 17e et 18e siècles, la grande salle du logis abritait l' auditoire de justice. Elle fut aménagée en salle des fêtes par A. Laprade en 1933. On remarque la présence de peintures murales de la fin du 13e siècle dans les cinq salles hautes du logis (frises à décor géométrique, blasons encadrés de motifs végétaux, etc.).

 

La Tour de l'Aigle ou Tour de César

La motte et le logis furent donnés par Charles-le-Chauve à l' un de ses fidèles nommé Haimon. En 1170, le château passa dans les mains du comte d' Anjou et roi d' Angleterre Henri II et joua un rôle important dans les luttes entre ce roi et Philippe Auguste. Henri II fit construire une puissante forteresse, dans le 3e quart du 12e siècle (dans les années 1160-1185). De cette forteresse subsistent le donjon légèrement conique et sa chemise de plan polygonal, implantés sur une motte. Trois courtines clôturaient la cour du château : l' une au nord, flanquée de tours carrées, irrégulièrement espacées (dont deux encore existantes), une autre à l' est, détruite au 13e siècle, lors de la construction du logis, et la troisième au sud, détruite au début du 19e siècle. L' enceinte du baile fut ensuite complétée par plusieurs tours rondes. Réuni au domaine royal, le château fut confié à Dreux de Mello, de 1206 à 1249. En septembre 1274, il fut remis à Pierre de la Brosse, chambellan et favori de Philippe-le-Hardi. Lorsque le nouveau possesseur fut pendu à Montfaucon en 1278, Châtillon revint au roi ; d' importants travaux avaient été exécutés, dont la construction, au nord de l' ensemble, d' un logis, depuis 1272 environ (charpente de la partie nord). Philippe III continua les travaux qui furent achevés vers 1289 environ (charpente en appentis appuyée contre le pignon sud). Une chapelle palatine à deux niveaux, dédiée à Notre-Dame, est accolée au logis. En plan, elle est constituée par un rectangle terminé par un chevet à cinq pans, tourné vers le sud. Elle n' existait pas encore en 1226 ; elle est citée pour la première fois en 1280. Sa charpente fut reprise au 14e ou au 15e siècle. Contre la courtine nord s' appuie un bâtiment utilisé comme prison de 1595 au 19e siècle. Sa charpente, à chevrons portant fermes en berceau brisé, correspondant à un toit en appentis, a été mise en place entre 1379 et 1384. Délaissé par la royauté dès le début du 16e siècle, Châtillon fut alors fréquemment engagé, jusqu' à son aliénation définitive par échange en 1745. La grande salle du logis accueillait aux 17e et 18e siècles, l' auditoire de justice. La construction d' une porte fortifiée, encadrée par deux tours circulaires, fut entreprise sur l' ordre du baron de Sennevières, capitaine du château et de la ville en 1610. Elle ne fut jamais été achevée.

 

 

 

 

Les sources pour cet article sont nombreuses.Elle viennent toutes du net.

Cet article n'a pour but que de vous informer et de vous faire profiter de ma curiosité personellle sur cette tour.

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Publié le 2 Février 2012

Par David Dewitte ©

 

Chatillon.DewitteDavid.JP (21)

 

 

 

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Publié le 19 Décembre 2011

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (35)

 

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (38)

 

 

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Chatillonsur Indre.36.Eglise. (9)

 

 

Eglise Chatillon.Plan

 

Source: Textes du net ou documentation publique

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Publié le 19 Décembre 2011

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (29)

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (3)

 

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (30)

 

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (31)

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (34)

 

 

 

Source: Textes du net ou documentation publique

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Publié le 19 Décembre 2011

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (2)

 

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (20)

 

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (22)

 

 

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Chatillonsur Indre.36.Eglise. (25)

 

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (26)

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (27)

 

Source: Textes du net ou documentation publique

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Publié le 19 Décembre 2011

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (12)

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (13)

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (17)

 

Cette cloche de 750 kg fut fondue en 1772 et offerte par le seigneur de Chatillon Antoine Jean Amelot et son épouse. Elle a été baptisée par le Chanoine Jean D'Archy. Son "Fa Dièse" à sonné à Chatillon pendant deux siècles,et ne se tut qu'après une mutilation d'un bombardement en juin 1940.Elle fut remplacée en 1990.Elle a été classée Monument historique le 20 décembre 1987.

 

 

 

Source: Textes du net ou documentation publique

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Publié le 19 Décembre 2011

Contemporaine de la construction du château-fort, la collégiale Saint-Outrille aujourd'hui église Notre-Dame, a été édifiée sur plus d'un siècle. Les éléments les plus anciens de l'abside sont de la fin du XIe, le corps de l'édifice est du XIIe alors que la voûte de la croisée du transept ainsi que certains éléments de la façade occidentale sont du début du XIIIe siècle. La richesse de son décor sculpté, la variété des techniques employées pour ses voûtes et son étonnante élévation sont ses intérêts majeurs.

 

Eglise Chatillon.Plan

Eglise Chatillon.Plan.bis

 

ChatillonS Indre 

  

Chatillonsur Indre.36.Eglise.

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (1)

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (10)

 

Chatillonsur Indre.36.Eglise. (11)

 

Source: Textes du net ou documentation publique

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